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samedi 27 août 2011

LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS

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SORCIÈRES REINES
FAMILLES ROYALES CANNIBALES, et encore de nos jours dans leurs confréries
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DRUIDISME ET REINES SORCIÈRES, CANNIBALISME ROYAL et chez les bourgeois de ce monde

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)


La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)

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Par FIONA MACRAE

Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011

Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.

Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.

L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.

De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.

Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »

« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.

« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.

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« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.

Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.

L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.

Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.

« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.

« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.

« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.

« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.

« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »

This painting of Charles I's execution in 1649 shows people surging forward to mop up the former King's blood. It was thought to have healing properties

Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.

Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.

Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.

Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »

« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.

« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.

« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »

La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.

Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).

Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.

Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.

« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.

Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.

Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.

Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.

Source: dailymail


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par Viny Eden
mon e-mail est soleilpourtous@hotmail.com

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Leur retour triomphal aux nobles valeurs du cannibalisme : clergé, noblesse, bourgeoisie et université


L’HEMOPHAGIE

Le cannibalisme du sang (hémophagie) fut de tous les temps et de tous les lieux.

Les prêtres des Mochicas du Pérou (200 av. J.-C. à 700 apr. J.-C. environ) pratiquaient des sacrifices humains : ils égorgeaient les victimes, collectaient leur sang dans des bols et le buvaient.

Dans la Rome impériale, il arrivait que des spectateurs se précipitassent dans l'arène pour boire le sang des gladiateurs morts ; ce sang était censé guérir les épileptiques et porter bonheur si l’on y trempait les cheveux.

Sous la Révolution française le sang des aristocrates guillotinés fut parfois offert aux pauvres comme boisson reconstituante et il est attesté que des enragés dévorèrent le foie de leurs victimes lors des massacres de septembre 1792.
En mars 1883, Alferd Packer, accusé d'avoir consommé la chair de ses cinq camarades dans les montagnes rocheuses du Colorado où leur expédition s'était perdue, fut condamné à la peine de mort pour cannibalisme. Sa sentence fut commuée en 40 ans de prison par la Cour suprême des États-Unis d'Amérique en 1886. Packer devint, paraît-il, végétarien et s'éteignit en prison le 24 avril 1907.

« Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! » Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde.

Le cannibalisme serait l'inévitable conséquence de la misère économique et physiologique dans laquelle sont plongées beaucoup de populations et aussi et surtout les conséquences des rituels religieux des classes bourgeoises, rituels dirigés par des sorciers/prêtres, des druides conseillers des rois et des reines, et .....

CITATIONS

Les habitants de la Terre de Feu ont été soupçonnés avec raison de cannibalisme ; ils sont dans l'usage de tuer leurs plus vieilles femmes, pour les dévorer, lorsqu'ils craignent de manquer de vivres. (François de Lacroix 1582-1644)

Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce. (Jean Rigaux 1909-1991)

LE CANNIBALISME EST UN VICE DES CLASSES BOURGEOISES..... Une connaissance plus approfondie des populations dites sauvages a prouvé qu'elles ont d'autres ressources que la chasse, la pêche et la cueillette. Presque toutes pratiquent l'horticulture. Les plus cannibales d'entre elles élèvent des animaux domestiques comme le porc et la chèvre. Si le cannibalisme provenait de la rareté des subsistances, il devrait être au minimum là où abondent les fruits spontanés du sol et au maximum dans les régions polaires, où l'homme ne vit que des produits de sa chasse et de sa pêche. Or le contraire est vrai. Les Eskimo sont à peu près étrangers au cannibalisme, qui est extrêmement développé dans les régions forestières de l'Afrique et de l'Amérique, où foisonnent le gibier et les fruits.



Les Dirigeants Internationaux ont toutes les caractéristiques des SOCIOPATHES

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''LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS

: Mt: 26/26-29

26 26 Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant: "Prenez, mangez, ceci est mon corps."
26 27 Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous;
26 28 car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
26 29 Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père."
22 17 Puis, ayant reçu une coupe, il rendit grâces et dit: "Prenez ceci et partagez entre vous;
22 18 car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne jusqu'à ce que le Royaume de Dieu soit venu."
22 19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant: "Ceci est mon corps, donné pour vous; faites cela en mémoire de moi."
22 20 Il fit de même pour la coupe (jus de raisin et non du vin car il ne voulait plus boire le produit fermenté de la vigne) après le repas, disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, versé pour vous.

Saint Jean : le pain de vie

Discours de Jésus sur le pain de vie (CANNIBALISME: du symbolisme à la réalité actuelle)

6 51 Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde."
6 52 Les Juifs alors se mirent à discuter fort entre eux; ils disaient: "Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger?"
6 53 Alors Jésus leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
6 54 Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
6 55 Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
6 56 Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
6 57 De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.




SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............

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Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres


Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés.http://nsa27.casimages.com/img/2011/08/27/110827075227915918.gif

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Le cannibalisme tire son son origine d'une passion, de l'embourgeoisement de certains dans des gamiques qui faisaient et qui font encore des PACTES DE SANGS ET..... L'usage est d'exclure du banquet anthropophagique les femmes et les enfants pour en faire un privilège sacerdotal et aristocratique.











Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique




Le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?






























Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....




































Est-ce la reine grand-mère, Mary? .... car ce matriarcat mafieux britanno/germano/Italo/Espano/Franco.... semble dirigé par les plus Anciens qui supervisent les jeunes rois et reines et ce jusqu'à la mort des Anciens tout comme les Druides le faisaient


Le guerrier mange le vaincu

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

L'exocannibalisme est le fait de manger réellement ou symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité, la revanche et l’appropriation des qualités guerrières de l’adversaire : la bravoure et la force notamment.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »


Les rites de la chair

Le Point - Publié le 12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25

Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés. »

« Ainsi fut sauvé Zeus... »

Loin d'être l'apanage de quelques rares assassins hors normes - comme le Japonais Issei Sagawa qui, à Paris, en 1981, eut, pour sa petite amie néerlandaise, une passion littéralement dévorante, ou, pis, comme les Américains Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de leur côté puis en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils goûtèrent la chair dans les années 70, ou encore comme Andreï Tchikatilo, le « boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté en 1990, avait tué et ingéré au moins 52 victimes -, l'anthropophagie fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité.

C'est si vrai que, dans de multiples sociétés, les mythes de la création font peu ou prou référence à la transgression de nombreux tabous dont, en premier lieu, celui qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné par le préhistorien Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce », Le Point n° 1377) : « Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! »

Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde. A la naissance de son sixième bébé, Rhéa prit une pierre, l'enveloppa de langes et la donna à Cronos qui l'avala sans se douter du subterfuge. « Ainsi fut sauvé Zeus, le futur roi des dieux », constate Jacques Lacarrière dans « Au coeur des mythologies » (3).

Quelque 800 os humains

Du mythe à la pratique, il n'y a qu'un pas que nos ancêtres les hommes de Neandertal et de Cro-Magnon ont, apparemment, franchi. Depuis la fin des années 70, la précision des fouilles comme le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?).

Les artistes de Lascaux et de la grotte Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux quantité d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages que ceux qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du paléolithique perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas cannibale inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui vivait à Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans avant eux.

Et pourtant, à l'époque, les néandertaliens furent les premiers humains à enterrer leurs morts. Mais peut-être ne considéraient-ils comme véritablement humains que les seuls membres de leur tribu... Après tout, cela se passait ainsi il n'y a pas si longtemps dans de nombreuses sociétés traditionnelles et en Europe au temps de Christophe Colomb, comme en témoigne la controverse de Valladolid sur l'humanité des Indiens Caraïbes. Quoi qu'il en soit, le plus naturellement du monde, sans que la plupart du temps entre dans cette pratique une quelconque perversion, l'Homme avec un grand H a mangé de l'homme avec un h minuscule, démontre Martin Monestier en insatiable comptable des bizarreries de notre étrange espèce.

Le guerrier mange le vaincu

L'Homme mange de l'homme par nécessité, comme sur le radeau de la « Méduse » en 1816, lors de la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le siège de Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion dans la cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont une équipe de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix jours durant par - 40 °C avant d'être secourus...

Cette anthropophagie de survie, même si elle soulève des haut-le-coeur, est comprise et absoute par l'opinion publique, les tribunaux et les Eglises. Les marins naufragés de la « Felicia » en 1875, de la « Victoria » en 1884, du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la chanson, mangé leur mousse, ont par la suite été relaxés par les tribunaux, constate Martin Monestier.

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

Lorsque les Européens, dans le sillage des Vasco de Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte mercantile du monde dans le bruit des armures, le feu des mousquets et la fureur des massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux Amériques, en Afrique et en Océanie, le cannibalisme, dont on ne connaissait en Occident que les versions mythiques et de survie, était couramment pratiqué au grand jour, sans honte ni perversité excessive. Le terme « canibal », francisé en « cannibale », a d'ailleurs été créé au XVIe siècle par les explorateurs espagnols à partir du mot « caribal » qui, dans la langue des habitants des Caraïbes, signifie « hardi », et non pas mangeur de chair humaine.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »

Le festin des nobles

A Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme mangeait l'homme pour consolider l'institution sociale. Les humains y étaient classés en deux catégories : les nobles, qui, comme chacun sait, sont habités par les dieux, et les autres... Pour nourrir ces dieux intérieurs, lors des fêtes de la récolte ou pour l'intronisation des chefs, il fallait manger de la chair humaine, en l'occurrence soit des prisonniers de guerre, soit les « autres ». Par exemple des voisins imprudemment égarés sur le territoire de la tribu, et même des morts, ou les « non-nobles » de son propre groupe. Pour éviter les abus, germes des pénuries futures, les chefs devaient parfois aller jusqu'à fermer la chasse à l'homme, comme ils le faisaient pour la cueillette des fruits.


La question du philosophe des Lumières reste d'actualité, affirme Martin Monestier, qui précise : « A l'heure actuelle, on assiste partout à une résurgence du cannibalisme sous toutes ses formes. Principalement rituel en Afrique et en Amérique du Sud, pathologique et criminel en Amérique du Nord, criminel et de subsistance en Europe de l'Est et en Asie. » Le pervers et sadique Hannibal Lecter est en bonne compagnie..... Et surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces Clans, ces CONFRÉRIES et autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent encore des rituels ancestraux pour s'obliger au silence et.....

VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE

En 1901, dans une thèse soutenue à la faculté de médecine de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard utilisa pour la première fois le terme de "vampire", non pas pour désigner un buveur de sang mais un nécrophile : Victor Ardisson, le "vampire" de Muy.
On a longtemps employé le terme de « vampire » pour des malades se livrant à des actes de nécrophilie, de nécrosadisme voir de nécrophagie, bien que, pour des raisons évidentes, il n’y eut pas, dans ces cas, de succion de sang. À l’inverse, certains individus, tels que les vampires de Hanovre, de Düsseldorf, de Londres et de Nuremberg, ont une fascination réelle pour le sang et non la mort

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Cannibalisme

De nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés par le procureur William Webb (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles. Dans certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement des attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et des décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de la famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menée par des compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »

Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :

« Les Japonais commencèrent à sélectionner les prisonniers et chaque jour un prisonnier était tué et mangé par les soldats. J’ai vu cela personnellement et près de 100 prisonniers furent tués et mangés par les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui restaient furent emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix prisonniers moururent de maladie. À cet endroit, les Japonais recommencèrent à sélectionner des prisonniers en vue de les manger. Ceux qui étaient sélectionnés étaient amenés dans une hutte où leur chair était prélevée sur leurs corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils étaient ensuite jetés dans un fossé où ils finissaient par mourir »11

L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara. Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.

L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.

Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font boire cette mixture aux proches parents. Les ossements sont censés contenir les éléments vitaux de l'esprit de la personne morte qui sont ainsi transmis aux consommateurs.
D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur, sièges supposés de l’âme du disparu.
Il est avéré que certaines Chinoises mangent leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le monde qu’on n’ose le croire.

Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


CROISADES

Des expéditions très sanglantes

Une fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs, se livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine, Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait : « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. » Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa chair les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait dans ses mémoires : « Quand on nous eu informés sur les frany (nom donné par les Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des bêtes nuisibles qui ont une supériorité dans la valeur et l'ardeur au combat mais rien d'autre, tout comme les animaux ont une supériorité dans la force et l'agressivité. » Et cet autre : « Les frany passèrent au fil du couteau la population de la Cité sainte et tuèrent des Musulmans pendant une semaine. Dans la mosquée Al-Aqsa, ils massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et enfermèrent les Juifs dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. » Même leurs coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée des troupes européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites orientaux résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et beaucoup assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se trouvait cachée « la Sainte croix du Christ » furent férocement torturés afin qu'ils livrent leur secret.

Durant la Seconde Guerre mondiale les soldats japonais commirent des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers et des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes ont pu être motivés par la famine dans certains cas ; mais selon l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menées par des escouades entières et sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts gradés connus ayant pratiqué le cannibalisme sont le lieutenant-général Yoshio Tachibana (qui, avec 11 membres de son personnel, a été jugé pour avoir fait manger un aviateur américain en août 1944 à Chichi Jima) et le vice-amiral Mori (pour avoir mangé un prisonnier lors d'une réception en février 1945).
Selon le témoignage de plusieurs prisonniers, tel que celui du soldat indien Hatam Ali, les victimes étaient parfois dépecées vivantes.


On a rapporté que, durant la guerre du Vietnam (1959-1975), des soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour s’approprier leur force.
La presse a publié des photos d’enfants-soldats laotiens exhibant les foies humains qu’ils allaient consommer.

Dans Stèles rouges, l'écrivain Zheng Yi raconte comment, au cours d'une enquête dans la province de Guangxi, il découvrit de nombreux cas de cannibalisme qui eurent lieu durant la révolution culturelle : "Aussi parle-t-on rarement de ce qui 6 arriva en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des étudiants du Guangxi ont mangé leur professeur, et le cannibalisme politique est devenu une expression admissible de la cruauté révolutionnaire. Des hommes étaient découpés vivants, on organisait des festins de chair humaine rituels auxquels chaque camarade se devait de prendre part.”


confréries

Le 27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité et interrogé à propos de la déposition d'un témoin de l'accusation racontant qu'il avait mangé de la chair humaine avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société secrète Poro dont l'accusé est aujourd'hui encore le chef, déclara qu'il ne s'était jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il n'avait "jamais ordonné à aucun combattant de manger qui que ce soit", en précisant qu'il "ne contestait pas qu'il y ait des cannibales dans certaines parties du Liberia".

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L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme

Caducee.net, le 11/4/2003

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D’après une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes populations du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences anthropologiques allant dans le sens d’une origine préhistorique des maladies à Prions transmissibles à l’homme et véhiculées par les pratiques cannibales courantes avant notre ère.

Le polymorphisme du gène PRNP, codant pour la protéine prion humaine, et notamment une forme mutée de ce gène (PRNP129), confère à l’état hétérozygote une relative résistance aux maladies à prions (sélection compensatoire).

L’équipe de John Collinge (University College Queen Square, Londres) a étudié parmi une population de femmes de Papouasie-Nouvelle-Guinée (Les Fores) pratiquant le cannibalisme, le polymorphisme du gène PRNP. Elle s’est aperçue que 23 des 30 femmes étudiées étaient porteuses à l’état hétérozygote de la mutation M129V. Il a été montré que cette mutation confère par ailleurs une résistance à la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), une encéphalopathie spongiforme semblable au Kuru, la maladie observée parmi cette population.

La mutation M129V (ou bien E219K) a été retrouvée par les chercheurs sur l’ensemble du globe, et l’analyse des régions d’ADN entourant ces mutations a révélé que le polymorphisme du gène prion remontait probablement à plus de 500000 ans.

D’après les chercheurs, le polymorphisme du gène PRNP remonterait à des périodes préhistoriques et la fréquence de son apparition à travers le monde plaiderait en faveur d’une pratique courante du cannibalisme avant notre ère.

Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320


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vendredi 26 août 2011

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)

Posted 27 mai 2011 — by ledbusqueurdebombes
Category nouvel ordre mondial

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)

Par FIONA MACRAE

Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011

Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.

Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.

L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.

Mary II (1662-1694), elder daughter of James II  Portrait of King Charles II c.1675

Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

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LUNE HABITÉE, AVEC SES CONTINENTS VISIBLES PAR TOUS ET SANS TÉLESCOPES

NIXON MAFIEUX ET LE ROI ÉDOUARD NAZISTE
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L’aventure commence le 20 Juillet 1969, avec le premier Homme à marcher sur la Lune. Tout le monde a entendu parler de cet évènement. Mais que s’est-il passé ensuite dans l’histoire de la NASA ? Dans les 20 ans qui ont suivi ce premier pas sur la Lune, on pensait pourvoir envoyer un Homme sur Mars. Mais le soutien de la population et surtout du gouvernement ne suivaient plus, ce qui a rendu la tâche impossible à réaliser, Nixon ayant réduit les subventions, ET POURQUOI PENSEZ-VOUS? Parce qu'eux, eux ils le savaient que ce voyage sur la Lune était une arnaque.....

NASA : amnésie du rangement ou arnaque au premier pas sur la Lune
L'agence spatiale américaine a égaré les films originaux de la mission Apollo 11:

L'agence spatiale américaine a reconnu, le 15 août 2006, avoir égaré les enregistrements originaux de la mission Apollo 11, celle de Neil Armstrong et "Buzz" Aldrin, les premiers hommes sur la Lune.
Il ne s'agit pas d'une simple cassette des premiers pas sur la Lune le 21 juillet 1969, mais de 13 000 bandes originales d'un quart d'heure chacune. Ces bandes avaient d'abord été rangées aux Archives nationales américaines en 1969, puis reprises par la Nasa (National Aeronautics and Space Administration) entre 1975 et 1979.
Elles contiennent les enregistrements de 11 missions spatiales, dont celles d'Apollo 11.
A la Nasa, on affirme aujourd'hui que les précieux originaux sont égarés, mais pas définitivement perdus.

Cette faute d'archivage est d'autant plus gênante que ces documents historiques seraient d'excellente qualité, bien meilleure que les images vues à l'époque par les téléspectateurs du monde entier.
Outre des vidéos, il y a des enregistrements sonores des trois astronautes (le troisième, Michael Collins, était resté en orbite autour de la Lune) et des données médicales.

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L'agence spatiale américaine a égaré les films originaux de la mission Apollo 11:

L'agence spatiale américaine a reconnu, le 15 août 2006, avoir égaré les enregistrements originaux de la mission Apollo 11, celle de Neil Armstrong et "Buzz" Aldrin, les premiers hommes sur la Lune.
Il ne s'agit pas d'une simple cassette des premiers pas sur la Lune le 21 juillet 1969, mais de 13 000 bandes originales d'un quart d'heure chacune. Ces bandes avaient d'abord été rangées aux Archives nationales américaines en 1969, puis reprises par la Nasa (National Aeronautics and Space Administration) entre 1975 et 1979.
Elles contiennent les enregistrements de 11 missions spatiales, dont celles d'Apollo 11.
A la Nasa, on affirme aujourd'hui que les précieux originaux sont égarés, mais pas définitivement perdus.

Cette faute d'archivage est d'autant plus gênante que ces documents historiques seraient d'excellente qualité, bien meilleure que les images vues à l'époque par les téléspectateurs du monde entier.
Outre des vidéos, il y a des enregistrements sonores des trois astronautes (le troisième, Michael Collins, était resté en orbite autour de la Lune) et des données médicales.

Cela ne fait qu'attiser les fanatiques de complots qui croient que la mission serait un énorme trucage!

Voici les arguments avancés, mais aussi leurs contre-arguments...

* Argument : Quand les astronautes posent le drapeau des états-Unis sur la Lune, celui-ci flotte au vent, alors qu'il n'y a pas d'atmosphère sur la Lune. De plus, le drapeau n'a aucune ombre.

* Argument: Les appareils photo emportés par les astronautes comportaient un système de marquage sous forme de petites croix ; or, sur certaines photos, ces croix sont cachées par les éléments d'avant-plan ce qui tend à prouver qu'elles étaient inscrites sur les éléments du décor

* Argument: Sur la Lune, en l'absence d'atmosphère pour diffuser à lumière solaire, la seule source de lumière c'est le Soleil. Or un certain nombre de photos montrent des objets dans l'ombre qui sont visibles comme s'il y avait une ou plusieurs autres sources importantes de lumière.

* Argument: Sur certaines photos, des astronautes sont dans l'ombre du module lunaire, et pourtant, ils sont toujours visibles. Or, ils devraient être drapés d'obscurité. De plus, à contre-jour, le contour des silhouettes devrait être imprécis, et pourtant, tous les détails sont visibles.
* Argument: Durant l'alunissage, tel qu'il était conçu, le module aurait dù être déséquilibré. Le réacteur du module en alunissant aurait dù brûler et chasser la poussière de dessous le LEM, ce qui aurait créé un cratère qui n'est présent sur aucune image.

* Argument: Les poussières lunaires chassées par le réacteur du LEM auraient dù se re-déposer après, or les images montrent les pieds de celui-ci parfaitement propres. Ceci d'autant que les poussières lunaires sont réputées se déposer et s'infiltrer partout, car elle seraient maintenues en suspension au dessus du sol lunaire et à cause de la répulsion électrostatique due à l'accumulation de charges électriques induite par les rayonnements ionisants et particules émis par le soleil.

* Argument : Dans le décor, on ne discerne aucune étoile. C'est un moyen simple pour ne pas être confondu par les astronomes.

* Argument: Selon Bill Kaysing dans l'imposture de la Lune, les probabilités de réussite de telles missions étaient de l'ordre de 0,0017 %.

* Argument: On considère généralement que les astronautes auraient dù subir une dose de radiations mortelles en traversant les ceintures de Van Allen. Les doses de radiations auraient dù être encore supérieures sur la Lune même, en particulier pendant la mission Apollo 16 qui a coïncidé avec une des plus intenses perturbations solaires jamais observées. Pourtant, jamais aucun astronaute n'a souffert des radiations après être revenu de la Lune. La Nasa prétend que ses combinaisons spatiales étaient extrêmement résistantes et protégeaient parfaitement les astronautes, mais alors, pourquoi n'utilise-t-on pas les mêmes technologies plutôt que d'énormes épaisseurs de plomb ou de béton pour se protéger des radiations ?



mercredi 24 août 2011

L'ALLIANCE DES 13 ROYAUTÉS CONTRE L'HUMANIT`É


Le roi Georges II de Grèce, le prince Georges de Grèce, les fiancés, la reine mère Hélène de Roumanie et le roi Paul de Grèce


Le prince Aymon était le second fils du duc Emmanuel-Philibert de Savoie-Aoste et il était le petit-fils d'Amédée Ier de Savoie, qui régna brièvement en Espagne. Aymon est né à Turin le 9 mars 1900 et c'est en qualité de second des ducs qu'il reçut en 1904 le titre de duc de Spolète des mains de son oncle le roi d'Italie. A quinze ans il était déjà cadet à l'Académie navale de Livourne et faisait carrière dans la marine en tant que sous-lieutenant.


A 16 ans il prit part à la Première Guerre mondiale comme chef de la 4ème division de la marine italienne. Par la suite, en 1936, il pointa la nécessité pour l'Italie de développer ses activités navales, et il conçut un type d'embarcation capable d'attaquer les navires ennemis. Mais la qualité la plus avantageuse chez Aymon était son physique - grand, mince, sportif accompli - il se détachait par son apparence des autres princes de la maison de Savoie, ce qui lui valut rapidement une grande popularité. Bob, comme on l'appelait en famille, était un ami intime de la princesse héritière Marie-José.

Cependant pour le comte Ciano, le gendre de Mussolini, le prince n'était qu'un jeune écervelé qui jusqu'à la fin des années vingt avait passé sa vie en s'abandonnant aux plaisirs les plus ordinaires de l'aristocratie tout en restant en marge de la vie publique. Toutefois, s'il est vrai que le prince était aventureux et ambitieux, il n'en était pas moins lucide et intelligent, comme son comportement durant la Deuxième Guerre mondiale l'avait révélé. Etant donné son grand intérêt pour les femmes, on raconte que lorsqu'on l'envoya chercher quelques années plus tard afin de lui offrir la couronne de Croatie, il fallut 24 heures avant qu'on ne mette la main dessus parce qu'il était caché dans un hôtel de Milan en compagnie d'une demoiselle et au parfait insu de son épouse.

Irène et Aymon s'installèrent à Florence dans la jolie Villa della Cisterna que le duc avait hérité de sa grand-mère paternelle, Marie Victoire dal Pozzo della Cisterna, épouse d'Amédée de Savoie, éphémère roi d'Espagne. Cela permettait à son épouse de rester en contact permanent avec sa soeur la reine de Roumanie, toutes deux observant avec inquiétude comment l'Europe commençait à se précipiter sur le chemin de la guerre. Le début des hostilités et l'invasion de la Grèce par l'Italie mirent Irène dans une situation particulièrement délicate, qui par moment semblait intenable, malgré son engagement dans la Croix Rouge comme infirmière. En revanche, par le truchement des ambitions expansionnistes de Mussolini, la guerre fit en sorte de placer son époux au premier plan de la scène internationale. En dépit de la rivalité continuelle entre les Aoste et le petit roi Victor-Emmanuel qui était leur cousin, Berlin et Rome avaient grand intérêt à ce que soit constitué un état satellite en Croatie, et ils proposèrent à Aymon et Irène de devenir les futurs roi et reine de ce royaume d'opérette soumis au dictat de Berlin.


Comment ces rois et princesses mettent les Élus en place .....

En 1941, une délégation croate dirigée par le nationaliste Ante Pavelić se présenta officiellement en Italie pour offrir à Aymon cette couronne pour laquelle on l'avait choisi sans presque le consulter. Une cérémonie de couronnement lui fut préparée dans la ville de Zagreb. Toutefois rien de tout cela n'allait avoir lieu, car le couple n'allait jamais mettre les pieds dans le pays. Le roi ne semblait nullement intéressé par son nouveau trône, chose qui pour Mussolini qui le qualifiait de borné, paraissait aberrante. Le comte Ciano écrivit : "Le comportement de ce jeune est réellement absurde. Il y a quelques nuits, étant dans un club nocturne près de la Piazza Colona, il s'est coiffé d'une nappe de table en guise de couronne parmi les applaudissements des garçons et du propriétaire du local. Le propriétaire, un certain Ascensio, qui partage son temps entre la cuisine et la prison, est son meilleur ami. Jolie figure pour un roi."

De son côté, la reine Hélène de Roumanie, soeur d'Irène, se rappelle sur un ton plus sérieux : "Je ne me suis que trop bien rendue compte de tous les dangers de ces propositions. Par hasard nous avions eu une délégation de Croatie invitée à manger ces mêmes jours où avaient lieu les préparatifs à Rome pour qu'Aymon et Irène soient couronnés dans la capitale du nouvel Etat. Un membre de cette délégation me dit : "Dites à votre soeur que si elle et son mari attachent une importance à leurs vies ils ne doivent sous aucun prétexte accepter cette situation. S'ils le font, le pays se chargera de se débarrasser d'eux". Je ne peux décrire mes sentiments à l'écoute de cet avertissement, en particulier parce que je savais très bien combien ma soeur et son mari étaient opposés à cette idée."
D'un autre côté, le duc d'Aoste, frère d'Aymon, s'opposait également à cette aventures en disant : "C'est une grave erreur. On ne peut imaginer devenir roi d'un peuple dont on ignore tout ; la langue, les coutumes, les habitudes, l'histoire". Pour sa part, le fameux écrivain italien Indro Montanelli, qui enterviewa Aymon à Trieste en 1941, raconte comment celui-ci, sur un ton très décontracté lui fit part de son manque total d'intérêt pour cette couronne que l'on voulait lui offrir. Entre temps, Irène s'était employée à servir d'infirmière de la Croix Rouge, allant même jusqu'à voyager en Russie.

Rapidement il apparut que le projet croate s'était dissolu, au plus grand soulagement des rois si peu intéressés. Le 11 août 1941 le journal The Times écrivait "Il (Aymon) ne donne aucun signe de quitter l'Italie et sa non apparition a beaucoup contribué à la désillusion. Au début les formalistes romantiques se montraient occupés à préparer des décrets sur des sujets tels que le nombre précis de pierres précieuses que devait porter la couronne et la création de brillants ordres de cavalerie et de noblesse, mais les gangsters sont ceux qui sont au contrôle et ils ne sont pas intéressés par la quincaillerie."

Au printemps 1942, la propagande italienne promit l'union entre la Croatie et la Hongrie sous le règne de Tomislav II, toutefois un projet si farfelu prit fin en septembre de l'année suivante lorsque l'Italie se rendit aux alliés. A ce moment-là, Aymon, qui n'avait jamais nourri aucune sympathie pour Mussolini, avait signalé au gouvernement anglais qu'il était disposé à se placer à la tête d'un mouvement qui renverserait le fascisme. Ensuite, lorsque les Allemands occupèrent l'Italie, le duc se réfugia en zone alliée, mais Irène fut capturée en territoire sous contrôle allemand et assignée à résidence. Cette même année naquit son fils unique, Amédée.

Au moment de la signature de l'armistice entre l'Italie et les alliés, le duc de Spolète se plaça au côté du roi italien, tandis que son épouse et son fils étaient confinés sur ordre des Allemands à Sartirana, tout près de Pavie et plus tard à Hirschegg, en Allemagne, où ils restèrent pendant dix mois dans des conditions très précaires. En mai 1945 ils furent enfin libérés et envoyés à Kretzlingen, d'où ils purent passer en Suisse puis de là en Italie. La mère et le fils demeurèrent dans leur maison de Florence jusqu'à ce que, en juin 1946, la chute de la monarchie italienne ne les oblige à repartir pour la Suisse. Entre temps Aymon avait repris de son frère le titre de duc d'Aoste et, sans guère de nouvelles de sa femme et de son fils, il partit pour l'Argentine en vue de recommencer une nouvelle vie en Amérique. Son fils, l'actuel duc d'Aoste, raconte : "Il espérait pouvoir refaire sa vie là-bas comme un homme d'affaires, mais je ne crois pas qu'il avait le caractère nécessaire pour cela. Il était déjà mort de l'intérieur depuis qu'il avait été obligé d'abandonner sa charge dans la marine. Il avait l'habitude de nous écrire fréquemment, car il ne nous appelait pas par téléphone étant donné qu'il était excessivement cher. Il se soumit à une opération de la vésicule et ma mère et moi reçumes une lettre dans laquelle il nous assurait que tout allait bien et qu'elle pouvait commencer à préparer les valises, parce qu'il nous enverrait l'argent nécessaire pour que nous puissions payer les billets et se joindre à lui. Ce même jour ma mère entendit à la BBC que son mari était mort. C'était le 23 janvier 1948. Nous l'enterrâmes au cimetière de la Recoleta, à Buenos Aires. Nous n'allâmes pas à l'enterrement. Nous n'avions pas d'argent. La République italienne nous avait tout confisqué et nous vivions à Davos, en Suisse, dans une chambre louée où ma mère cuisinait. Pauvre papa, jamais il ne fut un homme de chance. Moi, je ne l'ai quasiment pas connu et ma mère, entre la guerre, la prison et l'Argentine, c'est à peine si elle a pu le voir pendant leurs huit ans de mariage."

Aujourd'hui encore nombre d'Italien pensent qu'avec Aymon de Savoie aurait pu être remporté le référendum qui mit fin à la monarchie italienne.

Après avoir été ensevelie au cimetière de la Recoleta, la dépouille mortelle du duc fut transféré dans l'église des Italiens, Mater Misericordie, dans la ville de Buenos Aires, où chaque année à la date de son décès était célébrée une messe en présence de la communauté italienne. Cela jusqu'en 1973 lorsqu'elle fut transféré en Italie où on lui offrit une sépulture au cimetière de Il Borro, propriété de son fils le duc Amadeo.

Seule en Suisse, il fallut à l'épouse rapidement devenue veuve reconstruire sa vie. Au printemps 1947, c'est là qu'elle reçut la visite de sa soeur Hélène, également exilée de Roumanie, qui put constater comment les rigueurs et la peur éprouvées dans la prison de Bavière avaient ébranlé Irène.
C'est alors que la mère et le fils obtinrent enfin l'autorisation nécessaire pour rentrer en Italie, où ils découvrirent que leur maison de Florence avait été détruite. Grandement démunie et avec un petit enfant à élever, la princesse dut faire face aux difficultés du moment, si nombreuses. Peu auparavant, en juin 1946, le gouvernement britannique lui avait interdit l'entrée au Royaume-Uni, mais grâce à l'intervention du roi George VI, au travers de son secrétaire privé sir Alan Lascelles, elle put finalement assister au mariage de son cousin Philippe de Grèce avec la princesse Elisabeth d'Angleterre, en novembre de l'année suivante.
On l'empêcha néanmoins d'avoir accès à ses fonds au National Provisional Foreign Bank de Londres, dés lors où elle était toujours considérée comme "un ennemi national". Avec le temps la République d'Italie restitua aux Aoste leurs biens privés, et son fils unique, le duc Amédée, parvint à restaurer le domaine familial.

Après autant d'épreuves la princesse s'établit à Fiesole, tout près de Florence, dans la Villa San Doménico, juste à côté de la Villa Sparta de sa soeur Hélène, avec laquelle elle partagea pendant des années le plus clair de son temps. Par ailleurs, avec la restauration de la monarchie en Grèce les deux soeurs prirent l'habitute de rendre des visites fréquentes à la cour d'Athènes, où elles étaient toujours bien reçues par le roi Paul et sa famille.
Elles étaient également bien accueillies à la cour d'Angleterre, où elles pouvaient visiter leur soeur cadette la princesse Catherine. En 1962 elles prirent part ensemble au cortège nuptial de don Juan Carlos et de doña Sofia, car toutes deux comptaient parmi les tantes préférées de la reine d'Espagne. En 1966 la reine s'employa dans l'anonymat à aider les victimes des inondations qui eurent lieu à Florence et elle fut déclarée citoyenne d'honneur de la ville. Elle est décédée à Fiesole le 15 avril 1974, après avoir assisté une fois de plus à la chute de la monarchie grecque.

Elle a été enterrée dans la chapelle de la propriété Il Borro, dans la localité italienne d'Arezzo, détenue par son fils Amadeo.


mardi 23 août 2011

LES RETARDATAIRES CONFORMÉES SÉCURISÉES PAR LEURS PAYES DU JEUDI RALENTISSENT TOUTE ÉVOLUTION HUMANIE

RIEN DE PIRE QUE LA FAMILLE POUR CONFORMER À LA SOCIÉTÉ
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Et les travailleuses ne font guère mieux

Dès que tu travailles tu fais allégeance au système
et tut te mets à le défendre férocement afin de garder tes privilèges

Tant que nos femmes et nos mères fermeront les yeux et n'apprendront pas à leurs enfants à ne pas se vendre pour des peanuts ni à trahir tout le monde afin de tenter de payer son logement...... Devons-nous encore sacrifier tout le monde pour sa petite personne ?

''Les êtres petits ne s'occupent que de leurs petites personnes ; les êtres grands s'occupent du Monde Entier''

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Humanité reine

LA SEULE ET VRAIE MONNAIE CE SONT NOS RESSOURCES NATURELLES

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Mais les stériliser c'est procéder aussi violemment envers eux qu'ils le font envers nous: NON, il ne faut pas faire cela, ...... CE N'ÉTAIT QU'UNE JOKE, par contre ........

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Par contre on se doit de les démettre de leurs fonctions d'autorité qu'ils ont sur l'Humanité via leurs centaines d'Ordres, de Confréries, d'Organismes, d'Armées et .....

de les déconfrériser

de les déordriser

de les désArmées

de les désOrganismer

déPrivatiser les grandes Entreprises et multinationales

de les décontaminer de leurs mentalités élitistes d'égoistes hiérarchistes, eugénistes......

dimanche 21 août 2011

LONGÉVITÉ ET VÉGÉTARISME

ÉCOLOGIES PACIFISTE....... ANIMAUX VÉGÉTARIENS À PROTÉGER DES PRÉDATEURS
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BIODIVERSITÉS DES ANIMAUX PACIFIQUES À PROTÉGER EN DÉPRÉDATANT
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Devenez végétaliennes

samedi 20 août 2011

le PRIVÉ c'est l'ÉTAT ..... MAIS QUI MAGOUILLE AINSI

vendredi 19 août 2011

LA PRÉDATION N'EST PAS NATURELLE...... DES FAITS

TABLEAU DE L'ÉVOLUTION DE LA VIE ...... VERS DIEU
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Si les mères carnivores ne montre pas à leurs petits de chasser, tuer et déchirer ...... alors leurs petits se mettront à manger autres choses