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On pourrait nourrir 1 milliard de gens juste avec le raisin si on ne le transformait pas en vins
"Le vin est un poison qui perce les entrailles, la luxure est un couteau d'acier qui racle les os, les richesses sont la racine d'où proviennent les malheurs, la colère c'est le tigre et le léopard descendus des montagnes. "
Le vin le deuxième meilleuir placement à la Bourse
Plaisir des vivants
Son goût incomparable et l'ivresse qu'il procure font du vin le symbole des plaisirs terrestres ou célestes : au banquet, à la table des Rois et des Dieux, bonne chère rime avec volupté de la chair.
Très tôt, les excès qu'il engendre obligent à réglementer sa consommation : selon les lieux et les époques, le vin est bu pur ou mêlé d'eau, en commun ou en solitaire, réservé à une poignée de privilégiés ou interdit aux femmes.
Dans l'Antiquité, le bon usage du vin distingue les cultures " civilisées " des peuples " barbares " : Perses, Thraces ou Celtes, incapables de juguler leur soif tels les satyres de la mythologie grecque.Le souverain et les élites se distinguent par la possession de somptueux services à boire, exhibés de leur vivant lors de banquets et emportés dans le secret de leur tombe.
La
superficie viticole mondiale totale aurait à nouveau reculé entre 2010 et 2011 de
94.000 ha, (-1,2 %) et se situerait autour des 7,5 millions
d’hectares. C’EST DONC 75 000 KM2
SOIT L’ÉQUIVALENCE DE LA GRANDEUR
DE L’Irlande, ou la Serbie, ou
Au Québec il y a 6,3 millions d’hectares de
terres agricoles
vin contient 5 800 fois pluis de pesticides que l'eau
100 kg donnent de 65 à 75 litres de vin
Les Religions et leurs alcooliques preachers
Les associations du Pesticides Action Network Europe
(PAN-Europe), dont le MDRGF, publient les résultats d’une campagne d’analyses
réalisée sur des vins d’Europe et du monde entier et dénoncent la contamination
généralisée de ces vins par des résidus de pesticides.
L’Etude. L’étude a
été coordonnée par PAN-Europe, et soutenue par le MDRGF pour la France, Global
2000 pour l’Autriche et Greenpeace Allemagne. 40 bouteilles de vin rouge ont
été analysées, en provenance de France, d’Autriche, d’Allemagne, d’Italie, du
Portugal, d’Afrique du sud, d’Australie et du Chili. 34 étaient issues de
l’agriculture intensive et 6 de l’Agriculture Biologique .
Résultats :
100% des vins conventionnels testés contaminés. En effet chaque échantillon
testé contient en moyenne plus de 4 résidus de pesticides différents : les
plus contaminés d’entre eux contenant jusque 10 pesticides !
|
Niveau de contamination: 5800 fois plus élevée que pour l’eau potable ! Les
niveaux de contamination dans cette étude sont variables et ne dépassent pas
les limites maximales autorisées (LMR). Cependant, il est à noter qu’il
n’existe pas de LMR vin a proprement parler mais qu’on se réfère à celles
utilisées pour le raisin qui sont très élevées. Il faut en outre préciser que
les niveaux de contamination observés dans le vin sont considérablement plus
élevés que les niveaux tolérés pour les pesticides dans l’eau puisque qu’on a
trouvé dans certains vins testés des quantités jusqu’à plus de 5800 fois
supérieures aux Concentrations Maximales Admissibles (CMA) autorisées par
pesticide dans l’eau du robinet !
Ces mêmes produits chimiques ont été associés avec d'importantes
conséquences sur la santé, telles que la diminution des capacités
intellectuelles, l'apparition de cancers, de la maladie de Parkinson et de
l'Alzheimer. Les règles permissives de la SAQ sur la
qualité des vins nous amènent donc à retrouver sur nos tablettes des produits
qui sont hautement questionnables quant à leur impact sur la santé publique. À
lumière de ces informations, il est donc paradoxal de constater que ces
nombreuses études vantent les qualités antioxydatives d'un verre de vin
rouge...
Risques sanitaires. Ces nombreux résidus témoignent d’une utilisation très intensive de pesticides en viticulture. Parmi ces résidus trouvés de nombreuses molécules sont des cancérigènes possibles ou probables, des toxiques du développement ou de la reproduction, des perturbateurs endocriniens ou encore des neurotoxiques .
« L’étude
réalisée par PAN et le MDRGF montre que l’utilisation très intensive de
pesticides en viticulture - 20% des pesticides utilisés sur 3% de la surface
agricole - a comme conséquence la présence systématique de nombreux résidus dans
les vins. Il est grand temps, conformément aux décisions du Grenelle, que la
viticulture réduise sa consommation de pesticides pour réduire l’exposition
des consommateurs en privilégiant les techniques alternatives aux pesticides.
Ce sont ces systèmes alternatifs dont le MDRGF fait la promotion lors de la
3ème semaine
sans pesticides qui a lieu du 20 au 30 mars. » déclare
F. Veillerette, Président du MDRGF et administrateur du réseau PAN-Europe.
|
« En
outre, les représentants du gouvernement français devront absolument tout faire
pour que les législations européennes sur les pesticides en préparation éliment
les pesticides les plus dangereux et favorisent les systèmes qui réduisent fortement,
ou se passent complètement, de ces toxiques » ajoute F. Veillerette.
Ne nous leurrons pas, le vin biologique est aussi un poison mais sans les pesticides....
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Voilà des recommandations qui vont faire grincer les dents des vignerons français.
L'Institut national du cancer (Inac) vient de publier une brochure à destination des médecins. Avec un message très clair de santé publique : la consommation d'un verre d'alcool par jour augmente significativement le risque de cancer. Vin compris.
Une bombe qui s’appuie sur les différentes études menées sur le sujet
et sur les travaux du réseau Nutrition alimentation cancer recherche.
Le résultat est édifiant : "La consommation de boissons alcoolisées est associée à une augmentation du risque de plusieurs cancers : bouche, pharynx, larynx, côlon-rectum, sein et foie". Avec des chiffres très précis : un verre d’alcool par jour augmente de 168% le risque de cancers de la bouche, du pharynx et du larynx, de 28% celui de l’œsophage et de 10% celui du sein. Conclusion : "En matière de prévention des cancers, la consommation d’alcool est déconseillée, que soit le type de boisson".
Un message fort dans un pays qui pointe au 6e rang mondial de la consommation d’alcool, vin en tête. Et de quoi mettre la filière viticole en ébullition. "C’est une étude qui n’est pas fondée, s’insurge Jean-Claude Pellegrin, président de Vignerons13. On peut trouver des arguments contraires avec des scientifiques de renom. C’est surtout de l’acharnement contre la filière viticole".
Alors chercheuse à l'Inserm, Mariette Gerber a participé en 2007 à l’étude "Alcool et risque de cancers". D'après elle, le message de l’Institut national du cancer est réducteur : "Bien sûr il est important que les gens soient informés et conscients des risques mais de là à affirmer qu'il ne faut plus boire d’alcool… Le cancer, c’est un sujet complexe. Il y a toujours plusieurs facteurs : l’alimentation, l’hérédité… Dans le cas du cancer du sein par exemple, l'alcool n’est pas le facteur plus déterminant mais si on présente un terrain favorable, mieux vaut éviter d’en boire."
En pleine discussion à l'Assemblée nationale d'une loi pour restreindre l'accès des jeunes à l'alcool, les vignerons se sentent attaqués de tous les côtés. Et dénoncent un système à deux poids-deux mesures. "Nous aussi, on peut lancer des études sur certains produits. Des chercheurs trouveront facilement des substances cancérigènes, et pourtant eux ont reçu l'agrément des services de la Santé", s'emporte Jean-Claude Pellegrin. Récemment, les produits gras et sucrés ont gagné le droit de continuer leurs publicités à destination des enfants. En matière de santé publique, le poids du lobby compte aussi.
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Ne nous leurrons pas, le vin biologique est aussi un poison mais sans les pesticides....
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La consommation d'un verre d'alcool par jour augmente
le risque de cancer. Un message de santé publique qui met la filière
viticole en ébullition.
Le résultat est édifiant : "La consommation de boissons alcoolisées est associée à une augmentation du risque de plusieurs cancers : bouche, pharynx, larynx, côlon-rectum, sein et foie". Avec des chiffres très précis : un verre d’alcool par jour augmente de 168% le risque de cancers de la bouche, du pharynx et du larynx, de 28% celui de l’œsophage et de 10% celui du sein. Conclusion : "En matière de prévention des cancers, la consommation d’alcool est déconseillée, que soit le type de boisson".
Un message fort dans un pays qui pointe au 6e rang mondial de la consommation d’alcool, vin en tête. Et de quoi mettre la filière viticole en ébullition. "C’est une étude qui n’est pas fondée, s’insurge Jean-Claude Pellegrin, président de Vignerons13. On peut trouver des arguments contraires avec des scientifiques de renom. C’est surtout de l’acharnement contre la filière viticole".
Alors chercheuse à l'Inserm, Mariette Gerber a participé en 2007 à l’étude "Alcool et risque de cancers". D'après elle, le message de l’Institut national du cancer est réducteur : "Bien sûr il est important que les gens soient informés et conscients des risques mais de là à affirmer qu'il ne faut plus boire d’alcool… Le cancer, c’est un sujet complexe. Il y a toujours plusieurs facteurs : l’alimentation, l’hérédité… Dans le cas du cancer du sein par exemple, l'alcool n’est pas le facteur plus déterminant mais si on présente un terrain favorable, mieux vaut éviter d’en boire."
En pleine discussion à l'Assemblée nationale d'une loi pour restreindre l'accès des jeunes à l'alcool, les vignerons se sentent attaqués de tous les côtés. Et dénoncent un système à deux poids-deux mesures. "Nous aussi, on peut lancer des études sur certains produits. Des chercheurs trouveront facilement des substances cancérigènes, et pourtant eux ont reçu l'agrément des services de la Santé", s'emporte Jean-Claude Pellegrin. Récemment, les produits gras et sucrés ont gagné le droit de continuer leurs publicités à destination des enfants. En matière de santé publique, le poids du lobby compte aussi.
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