Nombre total de pages vues

mardi 22 mars 2011

LÉVESQUE (René)..... Il y a 33 ans, René Lévesque tue Edgar Trottier « Montréalais d ...

Toujours en 67, l'influent banquier David Rockefeller donne un discours à Toronto pour "suggerer" le libre échange entre le Canada et les Etats-Unis. 1974, le grand Orient de France fonde aussi à Montréal la loge Montcalm. Plus tard cette loge organisera en 1985 une remise de médailles maçonnique dont les récipiendaires seront le premier ministre René Lévesque, le maire de Montréal Jean Drapeau, le sénateur Jacques Hébert et Pierre Desmarais II qui fut l'imprimeur du journal d'Hébert. La Presse du 9 mai 1985 relatera d'ailleurs la rencontre de Lévesque avec le Grand Maître du GODF... 1976: René Lévesque donne un discours devant le Council on Foreign relations de Chicago peu avant son élection.


Cette carte fut offerte en 2010 aux étudiants de l'UQAC puis ils l'ont fait disparaître, mais j'en ai une chez-moi. Donc, même si l'ex-premier ministre Pierre Eliot Trudeau a fait semblant de rapatrier la Contitution canadienne qui était à Londres en 1982, la carte ci-bas prouve qu'en 2010, le Canada était toujours un dominion britannique....
voir l'image en taille réelle
Ce qui veut aussi dire que toutes les mines, toutes les multinationales du Canada, TOUT, tout est proprité directe ou indirecte de la Courone Britannique, et, aussi nos CHEFS
voir l'image en taille réelle
René Lévesques a fait son service militaire aux États-Unis puis a animé une émission de radio durant la Deuxième Guerre Mondiale, et, tous savons qu'il était impossible pour des gens anit-monarchiste d'entrer à Londres en ces moments de guerres, mais, René Lévesques et le Général de Gaulle, tous les deux y étaient et animaient des émissions de radios..... VOUS VOYEZ LES LIENS ENTRE LES DEUX, et pourquoi ''le diviseur'' De Gaulle est venu au Québec clamer ''vive le québec libre'' afin de continuer à diviser les anglans et les français ---- c'est comme cela que l'Angleterre domine tous les pays (en les divisant fratricidement)

C'est
David Rockefeller qui a suggéré l'idée de la ''Souveraineté'' à René Lévesques comme stratégie de division entre anglais et français.....

René Lévesque, était un journaliste MILITAIRE, et un journaliste militaire ça l'aime la guerre: donc ne croyez plus que cet homme était un humaniste. C'est conu que les petits hommes sont complexés et aiment jouer aux soldats et aux guerriers pour se rehausser ou ils cherchent à diriger les autres (Napoléon, Hitler..... étaient des petits hommes). Il faut vraiment être malade pour vouloir s'élever au-dessus des autres (et non AVEC les autres).

Il a animé une station de radio à Londres, il avait beau se dire dans l'Armée américaine tout en travaillant à Londres..... on sait combien Londres dirige tout et même les USA.


MAUDITE BOISSON

Il y a 33 ans, René Lévesque tue Edgar Trottier « Montréalais d ...


Le 6 février 1977, moins de 100 jours après avoir mené le PQ au pouvoir de la province du Québec, René Lévesque est le responsable d’un important accident qui enlève la vie à un Montréalais de 62 ans.

Après une longue soirée à jouer aux cartes avec différents amis chez Yves Michaud, René Lévesque, pour une raison encore inexpliquée aujourd’hui, décide de conduire la voiture de sa secrétaire personnelle et maitresse de l’époque, Corinne Côté, au lieu de se faire reconduire par son chauffeur.

Aux petites heures du matin, sur le chemin de la Côte-des-neiges, il frappe un individu qui, selon le témoignage de Lévesque et Côté, était couché sur la chaussée. Les policiers qui se sont rendus sur place n’ont pas cru bon de faire passer les tests réglementaires au nouveau premier ministre.

Le fait que les policiers n’aient pas pris la précaution de faire passer les tests réglementaires à René Lévesque et qu’il est préféré renvoyer son chauffeur ne démontre pas que celui qui était surnommé Ti-Poil était en boisson, mais ça laisse un doute important.

Cet accident aura de lourdes conséquences pour René Lévesque puisque sa relation avec Corinne Côté n’était pas connue à l’époque et qu’il était toujours marié à Louise L’Heureux, la mère de ses trois enfants.

Bien qu’aucune accusation ne soit portée contre René Lévesque, on finira par apprendre que la femme qui l’accompagnait était sa secrétaire personnelle au lieu que ce soit sa femme. Il en résultera un divorce dans les mois qui suivront.

Peut-on s’imaginer ce qui serait arrivé si René Lévesque avait été reconnu coupable de conduite avec les facultés affaiblies ayant causé la mort ? Combien de temps aurait-il fait en prison ? Qui aurait pris la relève au gouvernement ? Combien de réformes péquistes n’auraient pas vu le jour? La population aurait-elle pardonné à un meurtrier-chef d’État ? Le référendum de 1980 aurait-il eu lieu ?

Celui qui a perdu la vie, Edgar Trottier, 62 ans, était un sans-abri, donc personne n’a pris sa défense ou n’a demandé une enquête plus poussée contre le PM de l’époque.

Autant de gens croient que l’itinérant était ivre voir l'image en taille réelle


Faut pas se faire des à croire, René Lévesque était connu pour abuser des bonnes choses, alcool, cigarette, femme…


Autant avant qu’après il y a eu plusieurs histoires de forte consommation d’alcool qui ont été racontées par des proches de Lévesque. Par exemple, Pierre Godin, l’un de ses plus prolifiques biographes, parle de ses problèmes d’alcool et de sa dépression alors qu’il était encore à la tête du gouvernement.

=================================Il se porte volontaire, (l'armée canadienne lui ayant refusé un poste d'officier, en tant que correspondant)[1]. Au début de l'année, René est engagé comme agent de liaison pour le compte de l'armée américaine et se rend à Londres, alors bombardée chaque jour[1] par les V1 allemands. Attaché aux forces américaines, il est des campagnes militaires de France, d'Allemagne et d'Autriche. En février 1945, il devient correspondant de guerre pour les troupes du général américain George Smith Patton puis du général Alexander McCarrell Patch. Il accompagne la première unité américaine qui atteint le camp de concentration de Dachau.

Avec la fin de guerre, il s'installe à Montréal et devient journaliste pour Radio Canada International (RCI). Il est initialement animateur de l'émission Journalistes au micro. En 1947, il épouse Louise L'Heureux, fille d'Eugène L'Heureux, directeur du journal L'Action catholique, de Québec, qui était déjà sa fiancée avant la guerre. Le couple aura trois enfants : Pierre, Claude et Suzanne.


Il sera de nouveau correspondant de guerre en 1952 durant la guerre de Corée. Après cet épisode, il se voit offrir une carrière de journaliste aux États-Unis, mais décide de rester au Québec.

voir l'image en taille réelle



''Un État souverain'' mais souverain de quoi? Ce n'est pas un pays souverain que nous voulons: MAIS UN PAYS DE ''CITOYENS SOUVERAINS'' sous une gouverne humaniste évidemment c'st-à-dire sans pauvre, des habitudes de vie et d'alimentation saines enseignées par les Médias et les Écoles.




Nous voulons des gens souverains et sécure financièrement, aux USA il y a 52 États souverains et ont autant de pauvres

Un État Élitiste-Hiérarchique qui devient souverain: c'est dangereux car il crée la majorité dépendante et pauvre au lieu de la rendre autonome financièrement, économiquement et juridiquement...

L’État doit protéger les citoyens contre les injustices et les violences venant du dedans comme du dehors. ADAM SMITH. Et il ajoute: « Assurément, on ne doit pas regarder comme heureuse et prospère une société dont les membres les plus nombreux sont réduits à la pauvreté et à la misère».

René Lévesque, ENDURCI par ce qu'il a vécu durant la Deuxième guerre mondiale a été recruté par un agent du nom de Robb, qui était chef du bureau montréalais de l'Office of War Information, (OWI) (2) un service de renseignement nominalement américain, mais sous contrôle britannique.

Lévesque a été envoyé à New York pour rencontrer Pierre Lazareff, l'éditeur-en-chef des services français de L'OWI. Il a été rapidement envoyé à Londres. À la fin de la guerre il avait atteint, selon lui-même, l'équivalent d'un rang de capitaine : «On était quand même parmi les gars les mieux payés. J'avais une sorte de grade assimilée de lieutenant. Je pense que j'ai fini capitaine. Je n'étais pas capitaine en charge d'une unité, mais l'équivalent» dit René Lévesque. (4)

Aucun commentaire: