et crée pour cela des Sectes, des Ordres et des Sociétés Secrètes (Skull and Bones, Francs Maçonneries, Chevaliers de Malte ou de Colombs.....) pour laisser croire que ce n'est pas Londres la cause des décisions.
L'Angleterre manipule des ''BOZOS'' prêts à trahir tout le monde pour de l'argent, un job et des médailles autour du cou. Et ces pantins/présidents/rois/cheiks élitistes-de-droites jouent à la Gauche et savent avoir l'air gentils et humanistes..... Comme cela, ces manipulateurs-nés bernent tout le monde avec leurs images de ''gentils'' alors qu'ils sont mis en place justement par leur charisme mensonger.
Le microbe n'est rien, c'est le terrain (si le corps a de bonnes ou de mauvaises réserves) qui est tout.... L'Humain sera bon ou mauvais selon qu'il vis sous des États Humanistes ou élitistes/hiérarchistes.....
L'Angleterre et leurs Chefs-pantins
Aves ses pions/espions/morpions, Londres joue avec la seule vie que nous ayons tous.
On nous a fait croire que la guerre tuait les mauvais…. Et bien au contraire : les guerres ont tué les plus doux, les moins guerriers, les plus pacifiques, les populations non guerrières et moins assassines…. Il n’est resté que les moins nobles, les plus sadiques…. Et oui,les guerres ne favorisent que les mieux armés et trop souvent les plus exécrables.
Pour de l’argent et un emploi guerrier ils sont prêts à tuer, à nous tuer…. Et ils passeront pour des héros de nous avoir tirés dans le dos.
Lorsqu’il est vainqueur, le meurtrier se croit héros et moralement correct. Et c’est ainsi que ces Conquérants assassins ont écrit l’Histoire à leurs façons et en se rendant intouchables en se sanctifiant et se glorifiant.
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Les Anglais, même riches, vivent dans une société qui les broie.
À voir le confort élégant dont le Londonien riche jouit, on pourrait croire qu’il est heureux ; mais, si l’on veut se donner la peine d’étudier l’expression de sa physionomie, on reconnaît à ses traits, qui portent l’empreinte de l’ennui et de la lassitude, à ses yeux, où la vie de l’âme est éteinte et la souffrance du corps manifeste, que non seulement il n’est point heureux, mais qu’il est placé dans des conditions qui lui interdisent d’aspirer au bonheur. [Promenades, 77
L’Angleterre est gangrenée par un « matérialisme social » effrayant
L’Angleterre : un pays où prévalent l’hypocrisie et l’oppression d’une classe sur une autre.
LES APPAUVRIOS PAR L’ARISTOCRATIE POUVAIENT BIEN ÊTRE MALADES ET MOURIR JEUNES . . . . . . 1839. Flora Tristan s’intéresse aussi aux conditions de logement des pauvres, et, pour se faire une idée de leur détresse, visite certains quartiers qui comptent parmi les pires, habités surtout par les Irlandais et par les juifs. Cette présentation offre à l’auteur une occasion supplémentaire de montrer les défauts d’une société fondée sur l’injustice et l’égoïsme dans un pays « gouverné par l’aristocratie et au profit de l’aristocratie » [Promenades, 190]. Elle ne peut qu’être frappée par le contraste saisissant entre Oxford Street, rue où la bonne société vient faire ses achats, et le taudis de Saint Giles, l’un des plus sordides de la capitale, qui se trouvait juste à côté. La description qu’elle donne de ces quartiers misérables et de leurs habitants n’est en rien déformée par son parti pris anti-anglais, et rappelle, à bien des égards, celle d’Eugène Buret,38 qu’elle cite, d’Engels ou de Girdlestone. Elle est scandalisée par le cadre de vie des pauvres : ruelles non pavées couvertes de petites mares nauséabondes, odeurs pestilentielles, maisons dont les fenêtres et la porte laissent passer le froid, habitants maigres, en haillons, crasseux, visiblement souffrants qui ne peuvent même pas boire de l’eau potable, car celle qu’ils peuvent consommer a été souillée par « tous les égouts de la ville » [Promenades, 132]. La surpopulation de ces quartiers lui paraît tout aussi inacceptable. Chaque maison n’est guère qu’un « chenil où couchent pêle-mêle père, mère, fils, filles, et amis » [Promenades, 192], promiscuité qui ne laissait pas d’inquiéter certains victoriens,… Les conséquences d’une telle misère n’échappent pas à Flora Tristan, en particulier le vol et la prostitution infantile : « À onze et douze ans, les filles
sont vendues à des maisons de prostitution » [Promenades, 193]. On ne saurait voir là une exagération de féministe hostile à la Grande-Bretagne. À peu près à la même époque, Alfred Michiels rencontre un couple sur le point de « placer » une de leurs filles, mais la description, par un des fils, de la maison où elle travaillera permet à l’auteur de comprendre quel emploi attend la jeune fille : « Je compris la nature de la place qu’elle allait obtenir : on l’engraissait comme une victime, pour la sacrifier à la prostitution ! » [Promenades, 55].39 Flora Tristan est convaincue qu’il existe un lien entre l’argent, la pauvreté et la criminalité. Une société dans laquelle l’argent est
roi ne peut que susciter convoitise et désir de s’enrichir en faisant fi de tous les scrupules et de toutes les règles morales [Promenades, 151]. L’extrême misère et la faim, alors que « la pauvreté est tenue pour suspecte, souvent même traitée en criminelle » [Promenades, 284],40 attitude sans doute due au protestantisme des Anglais, poussent aussi au vol. Dans une ville où l’argent domine tout, l’existence d’un commerce d’objets volés fondé sur le recel lui paraît inéluctable. Elle tient à se rendre dans une ruelle, Field Lane, où se vendent des foulards volés. On y croise nombre de voleurs, et elle conseille au voyageur curieux tenté d’y aller de laisser chez lui montre, bourse et foulard [Promenades, 206]. L’ampleur du phénomène et la relative impuissance des pouvoirs publics reflètent, d’après l’auteur, « l’état social » du pays, qu’elle n’a de cesse de révéler.
LA PAUVRETÉ CRÉÉE PAR L’ÉLITISME PERDURE DE NOS JOURS ET CRÉE AUTANT DE MAUX ET DE MISÈRES INUTILES.
Voici le CONTE DE LA GRENOUILLE, par Olivier Clerc .....
Voilà où ça mène que de TOLÉRER des idéologies antifraternelles et déviantes aux fondements de nos États et de nos Médias...
DÉNONÇONS TOUT CE QUI EST ANTI-FRATERNEL
(élitisme, concurrence, compétition, équité, appauvrir, hiérarchiser....)
Voici le conte de LA GRENOUILLE ÉBOUILLANTÉE en document vidéo
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